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Rentrée sous tension, calculs froids. Ni majorité ni oppositions n’ont intérêt à provoquer dissolution ou censure dans un pays lassé et endetté. À 18 mois de la présidentielle, chacun temporise pour éviter de payer la note.

Lee Jae-myung, vainqueur de l’élection présidentielle sud-coréenne mardi, a officiellement pris ses fonctions dès le lendemain matin, sitôt sa victoire confirmée. Ce leader du centre gauche hérite d’un pays ébranlé par six mois de tumulte politique, marqués par la destitution de son prédécesseur et une crise institutionnelle dont il devra maintenant effacer les stigmates.

La Pologne vient d'élire un nouveau président conservateur, en la personne de Karol Nawrocki. Quels changements à prévoir ? Pour en parler, Léo Major

Malgré la courte avance donnée par les sondages de sortie d'urnes, c'est cet historien de 42 qui l'a emporté avec 50,89% au terme d'un duel extrêmement indécis contre le maire de Varsovie

Le premier tour de l’élection présidentielle roumain vient de rendre son verdict. Le candidat de droite nationaliste George Simion est arrivé en tête, enregistrant deux fois plus de voix que son poursuivant libéral Nicusor Dan. Feuilleton de ces derniers mois avec l’exclusion de Câlin Georgescu de la course, cette élection témoigne de l’évolution du paysage politique au sein de l’Union européenne. Pour en parler, Jérôme Besnard. Jérôme Besnard, d’ascendance maternelle roumaine, a réalisé des reportages en Roumanie et rédigé des analyses sur ce pays pour différents médias (Le Figaro, La Revue des Deux Mondes, France Culture, France catholique…).

George Simion, le chef du parti nationaliste AUR, a recueilli 40,5% des suffrages, selon des résultats quasi définitifs.

Qu’on l’aime, ou pas, Donald Trump aura marqué l’année qui s’achève avec le retour politique le plus spectaculaire qui soit !

L'élection présidentielle roumaine de 2024 a été annulée en raison de soupçons d'ingérence après l'arrivée en tête, au premier tour, du candidat Călin Georgescu, souvent classé à l'extrême-droite.

La question de la démission du chef de l’Etat, en cas de censure du gouvernement, travaille visiblement l’imaginaire du NFP. L’ancien candidat Insoumis envisage ainsi une candidature unique de la gauche. Ce qu’il faut savoir.

J.D. Vance et Donald Trump font preuve, en matière économique, d'un certain populisme quand ils estiment qu'il n'est plus temps de se soucier des élites mais bien des petits travailleurs qui font l'Amérique.

Cette tentative d’assassinat pourrait bien inciter Trump et une majorité du peuple américain à s’attaquer résolument à la gauche. Nous devons l’espérer.

Ces récents jours, le président Biden (cité par les principaux médias du pays) se dit fier d'être "La première femme noire élue vice-présidente des États-Unis" ; et promet peu après de "Battre Donal Trump... en 2020".nie

Le candidat réformateur Massoud Pezeshkian a remporté le second tour de la présidentielle en Iran, devant l'ultraconservateur Saïd Jalili, a indiqué samedi le ministère de l'Intérieur iranien.

Alors que la campagne avait été bouleversée par l'assassinat d'un des candidats favoris, Luisa Gonzalez la dauphine de l’ex-président Rafael Correa, actuellement en exil, est finalement arrivée en tête, devant Daniel Noboa, candidat de droite et challenger inattendu de cette présidentielle anticipée.

Le meurtre de Fernando Villavicencio, en deuxième position dans les intentions de vote, mercredi à la sortie d'une réunion électorale, par des colombiens sur fond de trafic de cocaïne, a profondément choqué le pays. Son parti, Construye, a choisit le journaliste Christian Zurita pour le remplacer.

Faisant retomber le suspense et mentir ses opposants qui lui prêtaient le dessein de se présenter à un troisième mandat malgré la constitution, le dirigeant sénégalais, au pouvoir depuis 2012, entend laisser la place à des "leaders capables de pousser le pays vers l'émergence".

Après 20 années au pouvoir, et malgré des sondages l'annonçant perdant au premier tour, le président sortant Recep Tayyip Erdogan a été réelu au second tour de l'élection présidentielle en Turquie.

Les deux candidats à l'élection présidentielle Turque, le président sortant R.T Erdogan et son adversaire, Kemal Kiliçdaroglu, affichent tous deux leur confiance quand à l'issue du scrutin de dimanche, alors qu'un second tour le 28 mai se confirme.

Les dépouillements ne sont toujours pas achevés mais l'hypothèse la plus probable est celle d'un score très accroché nécessitant un second tour, aucun des deux principaux candidats ne dépassant le seuil des 50% de suffrages exprimés, avec Recep Tayyip Erdogan en tête.

Personne ne sait qui succèdera à Joe Biden. Ce qu’on sait, c’est qu’il prépare l’Amérique pour les 20 prochaines années . Un programme, des projets, une ambition à très long terme . Bref une leçon dont devraient s’inspirer les dirigeants européens.